Des métaux lourds dans nos tampons ? Ce que j’ai appris m’a vraiment fait changer mes habitudes !
On essaie de manger bio, on fait attention aux produits qu’on utilise pour notre peau, mais on oublie souvent que notre santé intime mérite aussi la plus grande vigilance. Récemment, je suis tombée sur une étude qui m’a vraiment fait froid dans le dos : des chercheurs ont trouvé des métaux lourds, oui oui, vous avez bien lu, dans des tampons hygiéniques !
Une étude américaine tire la sonnette d’alarme
Je ne sais pas vous, mais moi, j’ai tout de suite pensé à ma santé, à celle de mes filles, de mes amies… On utilise ces produits tous les mois, pendant des années, sans se douter une seconde qu’ils pourraient contenir des substances nocives.
L’étude en question a été menée par des chercheurs de l’université de Berkeley, aux États-Unis. Ils ont analysé des tampons de différentes marques, vendues un peu partout dans le monde, et devinez quoi ? Ils ont trouvé des traces d’arsenic, de plomb, de cadmium, de chrome… Bref, un vrai cocktail de substances toxiques !
Le pire, c’est que même les tampons en coton bio, ceux qu’on pense plus sains, n’ont pas été épargnés. Apparemment, les concentrations en arsenic étaient même plus élevées que dans les tampons classiques.
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Quels risques pour notre santé ?
Alors, évidemment, on ne connaît pas encore l’impact exact de ces métaux sur notre santé. Les chercheurs n’ont pas encore déterminé si ces substances peuvent être absorbées par le corps et en quelle quantité. Mais franchement, est-ce qu’on a vraiment envie de servir de cobayes ?
Le plomb, par exemple, on sait qu’il est extrêmement nocif pour la santé, surtout pour le système nerveux. Alors, imaginer qu’on s’expose à cette substance tous les mois, pendant des années, ça fait froid dans le dos, non ?
Quelles solutions ?
Alors, qu’est-ce qu’on fait ? On arrête les tampons ? Pas forcément. Il existe des alternatives plus saines, comme les coupes menstruelles ou les serviettes hygiéniques lavables.
Mais surtout, je crois qu’il est important d’être informées, de poser des questions, d’exiger plus de transparence de la part des fabricants. Notre santé est en jeu, et on ne peut pas se permettre de fermer les yeux.
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Je ne suis pas médecin, mais en tant que femme, en tant que consommatrice, je pense qu’on a le droit de savoir ce qu’on met dans notre corps. Alors, partagez l’information autour de vous, parlez-en à vos amies, à votre famille. Plus on sera nombreuses à s’informer, plus on aura de poids pour faire bouger les choses.
Source : Reporterre.
Passionnée par les questions de santé, de nutrition et de bien-être depuis son plus jeune âge, Irène a très vite su que sa voie serait d’écrire et de partager ses connaissances. Après des études en journalisme scientifique, elle a entamé sa carrière en freelance, collaborant avec divers magazines spécialisés.
Adepte d’un mode de vie équilibré, Irène n’hésite pas à partager ses expériences personnelles, conviant ses lecteurs à adopter des habitudes saines au quotidien. Son enthousiasme et sa bienveillance transparaissent dans chacun de ses écrits, où se mêlent conseils avisés et touche d’humour. Aujourd’hui rédactrice indépendante, elle collabore avec les plus grands titres de presse féminine et familiale. Son prochain défi ? L’écriture d’un livre de vulgarisation sur l’alimentation anti-âge, un sujet qui lui tient particulièrement à cœur.